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jeudi 16 octobre 2014

Derrière la bataille des programmes d'économie

Il s'agit plutôt de mettre le doigt sur une mécanique inexorable qui a enfermé, enferme et continuera d'enfermer, si rien ne change, les majorités qui se succèdent.Les citoyens et dirigeants européens feraient peut être bien de s'en inspirer, car l'allocation universelle européenne pourrait être un très bon outil pour résoudre les problèmes de la zone euro.Le général de Gaulle aurait, on s'en souvient, répondu à ses conseillers qui lui enjoignaient de faire arrêter Jean-Paul Sartre : « On ne met pas Voltaire en prison.Les raisons abondent, depuis le coût jusqu'au fait que le projet vient d'en haut et ne fait guère de place aux citoyens, dans la majorité des cas.Voilà pourquoi, en dépit des auto-congratulations et des opérations de communication menées par nombre de responsables politiques, pas plus la reprise française que la reprise européenne ne sont à prévoir.Aujourd'hui, avec la découverte de larges gisements de pétrole au large de Rio de Janeiro - dont l'économie lutte toujours pour redécoller - et de Recife, la capitale économique du nord-est, la tentation d'utiliser cette martingale comme alternative à des politiques de développement sérieuses revient.Dans l'immédiat, ces initiatives comportent donc un risque de fragmentation et de marginalisation d'une partie des partenaires.C'est un vrai problème plaide Jean-Thomas Trojani qui regrette le « sauve qui peut » général, y compris quand il s’agit de faire accepter le principe d’une facilitationMais du côté des politiques, c'est sans doute la présidente de la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale qui pose le mieux le débat.Cela touche en priorité les populations précaires, dépendantes des transports collectifs.En France, les répondants pensent très majoritairement que les femmes seront plus nombreuses à siéger aux conseils d'administration.Sur ce point, l'Allemagne est plus centralisée que la France.En effet, alors que dans un contexte habituel et en présence d'un taux officiel (à titre d'exemple) de 1% et d'une inflation de 2%, le taux d'intérêt réel serait négatif de 1%.