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jeudi 16 octobre 2014

Statue ou statut : dilemme au Château

Car en proposant d'installer à ses frais des panneaux solaires photovoltaïques (PV) sur les toitures de particuliers ou d'entreprises tout en leur facturant une électricité à un prix d'environ 10% à 20% en deçà de ceux pratiqués par les "utilities", SolarCity menace le cœur même de leur « réacteur ».Jean-Thomas Trojani ne s'arrête pas à de tels détails.En revanche quand nous courons il faut regarder, proportionnellement, plus loin ; c'est l'essence même de la prospective.L'assureur désigné ne peut ni suspendre ni résilier le contrat de l'entreprise.Là encore, l'argument ne tient pas.Le Conseil de sécurité a qualifié ce plan de base «sérieuse et crédible» pour un règlement négocié de la question du Sahara occidental.Les besoins des êtres humains et de l'environnement sont immenses et les possibilités de travail utile voire nécessaire ne manquent pas. De même leur financement serait à revoir avec pourquoi pas des frais d'inscription plus importants (notamment pour les étudiants étrangers, mais pas seulement, couplés à des bourses plus importantes) et un plus grand recours aux financements privés.En effet, devant la double difficulté à fédérer l'ensemble des États autour d'une vision commune de la politique énergétique à court terme et d'articuler les objectifs de la politique euro-méditerranéenne avec la politique de l'Union européenne elle-même, une nouvelle voie s'est ouverte : celle d'une Communauté méditerranéenne de l'énergie qui se construirait petit à petit sur des projets concrets à partir d'accords sub-régionaux.La boutique en ligne doit offrir une expérience relationnelle en ligne proche de celle du commerce de proximité, où le prix n'est pas le seul argument.Le scepticisme ne se limite plus aux marges du champ politiqueAu Parlement, les élus PPE français s'inquiètent.Ainsi, en décembre 2010, lors de la conférence de lancement de l'EMCC, qui avait réuni une centaine de chefs d'entreprise à Paris, Gérard Mestrallet, PDG de GDF-Suez et président de l'EMCC, avait lancé : «L'avenir de l'Europe, c'est la Méditerranée.Apportant enfin une lueur d'espoir dans le système politique américain, les sénateurs ont voté fin novembre un changement de procédure pour leur assemblée.