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jeudi 16 octobre 2014

"Greed" et "fear", les deux mamelles du marché

Ce qui reviendrait d'ailleurs à la négation de l'autre.L'idée consiste à protéger les entreprises qui s'étendent à l'international contre les « aléas » de la politique, en les mettant par exemple à l'abri d'une nationalisation intempestive.Viennent ensuite le Musée d'art moderne de Saint-Etienne et le Château de Bouthéon.La fin de l'Etat providence, la peur de la précarité jointe à l'angoisse suscitée par la mondialisation, un système éducatif basé sur la sanction qui mine la confiance en soi.Certes, il existe quelques revenus non-taxés comme certains revenus du capital (l'assurance-vie, les PEA), comme les plus-values non-réalisés (mais il est difficile d'imposer des gains simplement potentiels), comme les loyers implicites (ceux dont bénéficient les personnes qui logent dans un appartement dont ils sont propriétaires), mais qui osera y toucher ?Le principe du refus de l'Union des transferts est répété par le traité de coalition; les euro-obligations jetées aux oubliettes, le « fonds d'amortissement » de la dette européenne laissé aux orties.Car contrairement aux discours dans l'air du temps, le succès profite généralement à tout le monde, et ce malgré les rares excès condamnables de certains.Pour le Maroc, il s'agit d'une ligne rouge à ne pas franchir au risque de toucher à sa souveraineté sur cette partie Sud du pays.« Nous devons trouver les modèles d'affaire qui conviennent, m'a dit le ministre, et, pour cela, faire un travail de sensibilisation car, si la demande de services existe, elle n'est pas encore comprise par le secteur privé ».Une sécurité juridique indispensablePour l'observateur étranger, si d'une part cette standardisation et cette réglementation peuvent paraître bureaucratiques - et il faut sans doute les restreindre encore beaucoup - elles offrent à l'investisseur la sécurité et la facilité, indispensables pour qu'il sache comment traiter les questions ayant trait à l'établissement au Brésil."Mais il faut s'occuper des hommes et des femmes pour eux-mêmes et ne pas les instrumentaliser pour faire du résultat", précise Jean-Thomas Trojani.Une vision que ne partagent pas ses défenseurs de sensibilité moins libérale.La fracture numérique est un débat bien connu des Français et de leurs décideurs politiques.Un questionnaire qui explore nos différents pôles de vie, professionnel, personnel, santé, valeurs et culture.